Accord d'entreprise COMETZ
ACCORD COLLECTIF D'ENTREPRISE RELATIF AU TELETRAVAIL
Application de l'accord
Début : 29/04/2020
Fin : 01/01/2999
Début : 29/04/2020
Fin : 01/01/2999
25 accords de la société COMETZ
Le 16/03/2020
ACCORD COLLECTIF D’ENTREPRISE
RELATIF AU TELETRAVAIL
SOCIETE COMETZ
ENTRE LES SOUSSIGNES
- La société COMetz, SARL au capital de 1 268 000 €, inscrite au R.C.S. de Metz, sous le numéro 440 323 426-00047 dont le siège social est situé 130, route de Thionville à Metz – 57050, et représentée par , dûment habilité à cet effet.
d'une part,
ET
Déléguée Syndicale d’EntrepriseCFDTDélégué Syndical d’Entreprise CFE-CGC
Délégué Syndical d’EntrepriseCFTC
Délégué Syndical d’EntrepriseCGT
d'autre part,
SOMMAIRE
1. OBJET ET CADRE JURIDIQUE DE L’ACCORD
2.CHAMP D’APPLICATION
3.FORMES DE TELETRAVAIL CONCERNEES
4.CRITERES D'ELIGIBILITE AU TELETRAVAIL
4.1. ACTIVITES DE L'ENTREPRISE CONCERNEES
4.2. CRITERES D'ELIGIBILITE AU TELETRAVAIL
5.MODALITES D'ACCEPTATION PAR LE SALARIE DES CONDITIONS DE MISE EN ŒUVRE DU TELETRAVAIL
6.COMMUNICATION ET SENSIBILISATION
7.LIEU DU TELETRAVAIL
8.MODALITES DE CONTROLE DU TEMPS DE TRAVAIL
9.FREQUENCE ET NOMBRE DE JOURS TELETRAVAILLES
10.DETERMINATION DES PLAGES HORAIRES PERMETTANT DE JOINDRE LE TELETRAVAILLEUR
11.EQUIPEMENTS LIES AU TELETRAVAIL ET PRISE EN CHARGE DE L’EMPLOYEUR
12.CONFIDENTIALITE ET PROTECTION DES DONNEES
13.DROIT A LA DECONNEXION ET A LA VIE PRIVEE
14.CONDITIONS DE RETOUR A UNE EXECUTION DU CONTRAT DE TRAVAIL SANS TELETRAVAIL
14.1. PERIODE D'ADAPTATION ET ACCOMPAGNEMENT14.2. RETOUR A UNE SITUATION SANS TELETRAVAIL A L'INITIATIVE DU SALARIE
14.3. RETOUR A UNE SITUATION SANS TELETRAVAIL A L'INITIATIVE DE L'EMPLOYEUR
14.4. SUSPENSION DU TELETRAVAIL
15.MODALITES D'ACCES AU TELETRAVAIL DES TRAVAILLEURS HANDICAPES
16.DISPOSITIONS FINALES
16.1. DUREE DE L’ACCORD16.2. REVISION DE L’ACCORD
16.3. DENONCIATION DE L’ACCORD
16.4. CLAUSE DE RENDEZ-VOUS - SUIVI DE L’ACCORD
16.5. DEPOT DE L’ACCORD
IL A ETE EXPOSE ET CONVENU CE QUI SUIT :
- Préambule
Le développement des technologies de l’information et de la communication à distance ont permis au cours des dernières années l’essor de nouvelles formes d’organisations du travail. Le télétravail constitue une de ces nouvelles modalités de travail que COMetz souhaite promouvoir.
Conjointement avec les partenaires sociaux, la direction souhaite affirmer par le biais de cet accord la mise en place du télétravail en s’inscrivant dans les évolutions récentes de la législation.
En effet, l’ordonnance du 22 septembre 2017 offre de nouvelles opportunités en matière de télétravail dans l’entreprise. Elle est revenue sur le cadre juridique du télétravail afin d’assouplir l’accès à ce dispositif et son déploiement au sein de l’entreprise. Les parties souhaitent ainsi favoriser le développement d’une organisation de travail moderne en phase avec les évolutions législatives, et dans l’objectif d’assurer la continuité de services auprès de ses clients donneurs d’ordre notamment dans le cadre de plans de continuité des activités.
De plus, et en cohérence avec la démarche de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE) dans laquelle COMetz s’est engagée, le télétravail contribue à la préservation de l’environnement dans la mesure où ce mode organisationnel induit une diminution des déplacements domicile-travail, et participe à une meilleure conciliation vie professionnelle - vie personnelle.
Il est entendu par ailleurs que le télétravail doit préserver la cohésion sociale ainsi que le bon fonctionnement de chaque service, et globalement de l’entreprise. En outre, le télétravail doit reposer sur des relations de travail fondées sur la responsabilité, l’autonomie et la confiance.
- Objet et cadre juridique de l’accord
Il se substitue également en tout point aux pratiques et usages appliqués jusqu’alors dans l’entreprise et portant sur le même objet, et quelle qu’en soit la source.
En cas d’évolution des dispositions légales, réglementaires et conventionnelles, les parties apprécieront conjointement les conséquences de ces évolutions et, le cas échéant, l’opportunité de réviser le présent accord.
- Champ d’application
- Formes de télétravail concernées
- Critères d'éligibilité au télétravail
- Activités de l'entreprise concernées
- A toutes les fonctions de la société ;
- A toutes les activités de la société.
Critères d'éligibilité au télétravail
- Etre titulaire d’un contrat de travail en CDI ou en CDD ou aux travailleurs temporaires avec l’accord exprès de l’établissement de travail temporaire ;
- Justifier d’une ancienneté de 3 mois sur l’activité, sauf dérogation expresse de la direction ;
- Habiter dans une zone géographique compatible avec des technologies à mettre en œuvre, et être propriétaire ou locataire du logement : à cet effet, le salarié devra fournir un justificatif de domicile ou une attestation d’hébergement parental, afin de s’assurer des modalités de mise en œuvre du télétravail.
- Etre volontaire durant toute la durée de mise en œuvre du dispositif : un formulaire de volontariat devra être signé avant la mise œuvre effective du télétravail ;
- Obtenir l’accord exprès et préalable de la direction ;
- Disposer du matériel informatique : le nombre maximum de personnes éligibles sera précisé par la direction.
Un réexamen des critères d'éligibilité avec le manager sera possible en cas de changement de fonction, de poste, de service, ou de domicile du salarié, et pourra donner lieu à la cessation de la situation de télétravail si le salarié ne remplit plus les critères.
- Modalités d'acceptation par le salarié des conditions de mise en œuvre du télétravail
Dans le cas où le passage au télétravail est proposé au salarié par son manager, le salarié peut refuser et ce refus ne constitue pas un motif de sanction ou de licenciement.
Lorsque la demande de télétravail est acceptée par le salarié et la direction, le salarié complètera et signera un formulaire pour confirmer son accord (cf. Annexe 1).
- Communication et sensibilisation
- Lieu du télétravail
En cas de changement de domicile, le salarié préviendra l'entreprise en lui indiquant la nouvelle adresse. Pour des raisons de sécurité pour le salarié et de bon fonctionnement de l'entreprise, les conditions d'exécution du télétravail seront alors réexaminées. Elles pourront, le cas échéant, être remises en cause dans les conditions fixées au présent accord.
- Modalités de contrôle du temps de travail
- les durées maximales de travail : soit 09 heures par jour et 44 heures par semaine en moyenne sur 8 semaines consécutives ;
- les durées minimales de repos : soit 13 heures par jour et 37 heures par semaine, ainsi qu'un temps de pause journalier de :
- 20 minutes payées et 30 minutes libres pour les journées de plus de 7 heures de travail effectif ;
- 15 minutes payées et 20 minutes libres pour les journées comprises entre 3 heures et 7 heures de travail effectif.
Le télétravailleur relevant du statut cadre au forfait jours doit obligatoirement déclarer chaque journée télétravaillée à son manager ou à toute personne désignée par celui-ci, et ce le jour-même. A défaut, la journée sera présumée comme non travaillée.
Fréquence et nombre de jours télétravaillés
Le télétravailleur reste tenu, même pendant les jours de télétravail, de se rendre dans les locaux de l'entreprise en cas de demande de son manager, pour participer notamment aux réunions ou pour tout autre motif justifié par le bon fonctionnement du service.
- Détermination des plages horaires permettant de joindre le télétravailleur
Pendant les jours de télétravail, le télétravailleur non cadre devra respecter les horaires de travail qui lui seront communiqués et pendant lesquels il doit être possible de le joindre.
Pendant ces plages horaires, le télétravailleur est tenu de répondre au téléphone, de participer à toutes les réunions téléphoniques ou les vidéoconférences organisées par sa hiérarchie et de consulter sa messagerie.
- Equipements liés au télétravail et prise en charge de l’employeur
L'entreprise fournit, installe et entretient les équipements suivants nécessaires à l'exercice de l'activité en télétravail :
- Un casque USB ;
- Un outil intranet qui permettra au télétravailleur de rester en contact avec l’entreprise et de communiquer avec sa hiérarchie.
L’abonnement téléphonique et ADSL ou fibre du collaborateur à hauteur de 50% plafonné à 20 (vingt) euros/mois/salarié (ce montant est calculé au prorata si le salarié télétravaille moins de 5 jours sur le mois). En cas de conjoints salariés de l’entreprise, l’indemnité n’est pas cumulable et n’est versée qu’une fois. Le salarié produit un justificatif du montant de son abonnement ;
- La
consommation électrique à hauteur de 10 (dix) centimes de l'heure travaillée (indemnisée sur fiche de paie). En cas de conjoints salariés de l’entreprise, l’indemnité n’est pas cumulable et n’est versée qu’une fois ;
- Le salarié perçoit un défraiement en cas
d’utilisation de matériel informatique personnel (de 2 euros par jour travaillé).
Par ailleurs, le télétravailleur ne pourra pas utiliser ce matériel pendant les périodes de suspension du contrat.
Le télétravailleur est tenu de prendre soin des équipements qui lui sont confiés. En cas de panne ou de mauvais fonctionnement des équipements de travail, le télétravailleur doit en aviser immédiatement l'entreprise en appelant son manager ou toute autre personne désignée par ce dernier, ou la personne chargée de résoudre les problèmes de connexion ou de fonctionnement du matériel.
Enfin, pour des raisons de sécurité, l'équipement destiné au télétravail mis à la disposition du télétravailleur ne peut être déplacé à une autre adresse qu'après avoir obtenu l'accord express de l'employeur.
La conformité du matériel dédié au télétravail, notamment en matière de normes électriques et de risques incendie relève de la responsabilité du télétravailleur.
Le télétravailleur est tenu de respecter toutes les consignes de sécurité et les interdictions d'utilisation de matériel ou d'équipement. Toute infraction à ces règles ou principes peut engendrer des sanctions pouvant aller, le cas échéant, jusqu'au licenciement.
Confidentialité et protection des données
La violation de cette obligation est un motif de sanction disciplinaire, pouvant aller, le cas échéant, jusqu'au licenciement de l'intéressé.
Pour des raisons de sécurité informatique, il est demandé au télétravailleur de prendre connaissance de toutes consignes qui lui seraient transmises et de les respecter scrupuleusement. Le télétravailleur s'engage, notamment, à respecter la charte informatique de l'entreprise au regard de la protection des données, ainsi que les consignes qui lui seront transmises par le service informatique de l'entreprise. Il devra également suivre les formations éventuellement demandées concernant la bonne utilisation du matériel fourni.
Toute infraction à ces consignes peut engendrer une sanction, pouvant aller, le cas échéant jusqu'au licenciement.
Droit à la déconnexion et à la vie privée
- Conditions de retour à une exécution du contrat de travail sans télétravail
- Période d'adaptation et accompagnement
L'exercice des fonctions en télétravail débute par une période d'adaptation de 3 jours, sauf contrainte liée au bon fonctionnement de l’activité ou de l’entreprise. Cette période doit permettre à l'employeur de vérifier si le salarié a les aptitudes personnelles et professionnelles pour travailler à distance ou si l'absence du salarié dans les locaux de l'entreprise ne perturbe pas le fonctionnement de son service. Pour le salarié, cette période permet de vérifier si l'activité en télétravail lui convient.
Au cours de cette période, l'employeur ou le salarié peuvent décider, unilatéralement, de mettre fin à la situation de télétravail, moyennant un délai de prévenance d’un jour, sauf contrainte justifiée par les besoins de l’activité ou le bon fonctionnement de l’entreprise.
S'il est mis fin à la situation de télétravail, le télétravailleur retrouvera sa fonction dans les locaux de l'entreprise et devra restituer l'ensemble du matériel mis à sa disposition par la Société pour les besoins du télétravail.
Durant la période de télétravail, le collaborateur demeure rattaché hiérarchiquement à son supérieur hiérarchique, ou à toute personne qui lui est substituée auquel il doit s’adresser prioritairement pour toute question liée au déroulement de son activité.
- Retour à une situation sans télétravail à l'initiative du salarié
Le télétravailleur est prioritaire pour occuper ou reprendre un poste sans télétravail qui correspond à ses qualifications et compétences professionnelles, sous réserve de l'application des règles relatives aux priorités d'embauche ou de réembauche (temps partiel, priorité de réembauche après licenciement économique, etc.).
L'entreprise s'engage, dans ce cas, à porter à sa connaissance tout poste disponible de cette nature. La demande sera effectuée par écrit (envoyé par mail, par remise de la lettre en mains propres/par lettre recommandée avec accusé de réception).
- Retour à une situation sans télétravail à l'initiative de l'employeur
- Condition d'éligibilité non remplie ;
- Réorganisation de l'entreprise, de l’activité ou du service ;
- Contraintes liées à l’exploitation ou au bon fonctionnement de l’entreprise ;
- Arrêt total ou partiel de la mise en œuvre du plan de continuité d’activité (PCA).
La fin du télétravail prendra effet un jour à compter de la réception par le salarié de la décision de mettre fin au télétravail.
- Suspension du télétravail
- Modalités d'accès au télétravail des travailleurs handicapés
- Dispositions finales
- Durée de l’accord
Le présent accord est conclu pour une durée indéterminée.
Il prend effet au lendemain de son dépôt auprès de la DIRECCTE.
- Révision de l’accord
L’une ou l’autre des parties signataires pourra demander la révision de tout ou partie du présent accord selon les modalités suivantes :
- Toute demande de révision doit être adressée par lettre recommandée avec AR à chacune des autres parties signataires et comporter outre les indications des dispositions de la révision demandée, les propositions de remplacement.
- Dans un délai maximum de 3 mois à compter de la réception de cette lettre, les parties devront ouvrir une négociation en vue de la modification du présent accord.
- Les dispositions de l’accord dont la révision est demandée resteront en vigueur jusqu’à la conclusion d’un nouvel avenant de révision ou, à défaut d’aboutir dans un délai de trois mois, seront maintenues.
- Les dispositions de l’avenant portant révision se substitueront de plein droit à celles de l’accord qui le modifie.
Dénonciation de l’accord
Le présent accord pourra être dénoncé moyennant le respect d’un préavis de trois mois par une ou l’autre des parties signataires selon les modalités suivantes :
- Toute dénonciation devra être notifiée à l’autre partie par lettre recommandée avec AR adressée à chacun des signataires et déposée auprès de la DIRECCTE et du Greffe du Conseil des Prud’hommes de METZ.
- Une nouvelle négociation devra alors être engagée à la demande de l’une des parties dans les meilleurs délais et, au plus tard, dans les trois mois suivant la réception de la lettre de dénonciation.
- Clause de rendez-vous - Suivi de l’accord
Les parties conviennent de réaliser un bilan de l’accord tous les 5 ans afin d’envisager d’éventuelles adaptations de ses dispositions.
En cas d’évolution des dispositions légales, réglementaires et conventionnelles, les parties apprécieront conjointement les conséquences de ces évolutions et, le cas échéant, l’opportunité de réviser le présent accord.
- Dépôt de l’accord
Le présent accord sera conclu en 7 exemplaires originaux, un pour la direction et un pour chacune des organisations syndicales signataires.
La direction procédera aux formalités de publicité telles que prescrites par les dispositions légales :
- 1 exemplaire pour la DIRECCTE déposé en ligne sur la plateforme téléaccords ;
- Un dépôt en 1 exemplaire auprès du Secrétariat de Greffe du Conseil des Prud’hommes de Metz.
Fait à METZ, le 16 mars 2020,
En 7 exemplaires.
Pour la société :
Directeur exécutifPour les organisations syndicales représentatives :
Déléguée syndicale d’entrepriseCFDTDélégué syndical d’entrepriseCFE-CGC
Délégué syndical d’entrepriseCFTC
Délégué syndical d’entrepriseCGT
ANNEXE 1
FORMULAIRE DE DEMANDE DE TELETRAVAIL
FORMULAIRE DE DEMANDE DE TELETRAVAIL
FORMULAIRE DE DEMANDE DE TÉLÉTRAVAILPARTIE 1 / 2 – DEMANDE
DEMANDEUR
DEMANDEUR
Nom Prénom
Matricule
Fonction
Service / Activité
Lieu du télétravail
(adresse complète)
DETAIL DE LA DEMANDE
DÉTAIL DE LA DEMANDEMotif : ☐ Plan de continuité d’activité à la demande de l’entreprise
☐ Autre (préciser) : ………………………………………………………………………………………………
Demande à télétravailler à compter du …/ …/…. au …/…/…. (si date de fin connue)
DETAIL DE LA DEMANDE
ATTESTATION SUR L’HONNEUR
SUR L'HONNEURLe demandeur atteste sur l'honneur que son domicile peut accueillir un espace de travail dédié et adapté répondant aux règles de sécurité électrique et permettant un poste de travail informatique avec un aménagement adapté. Il atteste avoir pris connaissance des règles de cadrage du télétravail précisées dans le livret relatif au télétravail, notamment en matière de confidentialité des données, et qui s’imposent à lui. Il s’engage à utiliser le matériel et outils qui lui sont confiés dans le respect des règles en vigueur en matière de sécurité des systèmes d’information définies dans la charte informatique. SIGNATURE
SIGNATURE
Date : …/ …/… Signature du demandeur :
PARTIE 2 RÉPONSE ONF
RÉPONSE
Demande de télétravail
☐ Acceptée ☐ RefuséeEn cas de refus, préciser le motif :
☐ Ancienneté insuffisante sur l’activité☐ Apprenti, stagiaire, contrat de professionnalisation
☐ Activités incompatibles avec le télétravail
☐ Fonctionnement du service et/ou configuration de l'équipe incompatible
☐ L'autonomie du salarié est insuffisante
☐ Logement inadapté
☐ Autres (préciser dans commentaires) :
Commentaires :
RÉPONSE (1 mois à compter de la date de réception de la demande)
SIGNAT
SIGNATURE
Nom et prénom du manager :Fonction du manager :
Date : …/… /…
Signature du responsable :
URE
Mise à jour : 2020-06-11
Source : DILA
https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/
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