Accord d'entreprise EIFFAGE CONSTRUCTION TERTIAIRE

ACCORD CSE

Application de l'accord
Début : 01/01/2999
Fin : 01/01/2999

7 accords de la société EIFFAGE CONSTRUCTION TERTIAIRE

Le 18/12/2018



ACCORD MAJORITAIRE SUR LA MISE EN PLACE DU

COMITE SOCIAL ET ECONOMIQUE AU SEIN DE LA SOCIETE

EIFFAGE CONSTRUCTION TERTIAIRE

ACCORD MAJORITAIRE SUR LA MISE EN PLACE DU

COMITE SOCIAL ET ECONOMIQUE AU SEIN DE LA SOCIETE

EIFFAGE CONSTRUCTION TERTIAIRE


Entre la Société EIFFAGE CONSTRUCTION TERTIAIRE, dont le siège social est situé au 17 rue Delarivière Lefoullon 92800 PUTEAUX, SAS au capital de 382 010 €, inscrite au RCS de Nanterre sous le numéro 791 308 836 000 42 représentée par Monsieur XX en sa qualité de Directeur,

D’une part,

Et

Les Organisations Syndicales représentatives suivantes :

Pour la CFDT :Monsieur XX

Pour la CGT :Monsieur XX

Pour la FO :Monsieur XX

D’autre part,


Préambule


Cet accord est conclu en application de l’ordonnance n°2017-1386 du 22 septembre 2017 relative à la nouvelle organisation du dialogue social et économique dans l'entreprise et favorisant l'exercice et la valorisation des responsabilités syndicales, ratifiée par la loi n°2018-217 du 29 mars 2018, et plus précisément des articles L. 2313-1, et L. 2313-2 du Code du travail relatifs à la mise en place du comité social et économique ainsi que l’accord-cadre conclu au niveau de la branche EIFFAGE CONSTRUCTON le 09.10.2018.

La Direction de la Société a souhaité, d’une part, assurer une transition avec les instances représentatives du personnel antérieures (CE/ DP/ CHSCT) et, d’autre part, organiser la mise en place et le fonctionnement du CSE.

Une négociation a été engagée avec les organisations syndicales représentatives et la direction de la société afin de déterminer le cadre de mise en place et les conditions de fonctionnement du CSE, dans l’objectif de garantir le droit des salariés à être représentés.

Le présent accord détermine notamment :

  • Le cadre de mise en place du CSE ;
  • Les conditions de son fonctionnement ;
  • La composition et le fonctionnement des commissions.

Dans ce contexte, les parties ont convenues de ce qui suit :

Champ d’application

Les dispositions du présent accord s'appliquent à la société EIFFAGE CONSTRUCTION TERTIAIRE, dont le siège social est situé au 17 rue Delarivière Lefoullon – 92800 PUTEAUX.


Sort des mandats en cours


Les mandats CE/DP des instances représentatives arrivaient normalement à échéance le 15 juin 2018.

Afin de permettre la mise place des nouvelles instances représentatives, les parties conviennent de la nécessité de proroger les mandats jusqu’au 14 Juin 2019, afin d’organiser le renouvellement des instances au plus tard entre le 1ER Juin 2019 et le 14 Juin 2019.

Les mandats prendront fin automatiquement lors de la proclamation des résultats du 1er tour des prochaines élections.


Mise en place du Comité Social Économique (CSE)

Le comité social et économique (CSE) institué par les articles L. 2311-1 du code du travail est l’instance se substituant aux délégués du personnel, au comité d’entreprise, au CSHCT et aux éventuelles délégations uniques du personnel.

Le CSE constitue désormais, lors du renouvellement des instances, l’instance unique de représentation du personnel.


  • Périmètre de mise en place du CSE


Le CSE est mis en place au niveau de la Société dont il représente l’ensemble des salariés suivant le périmètre lors de la signature de ce présent accord à savoir un établissement composé de plus de 300 collaborateurs.

Les membres du CSE seront élus selon des modalités électorales fixées par un protocole d’accord pré-électoral distinct du présent accord.

Les particIpants aux rÉunions

Le CSE est présidé par l'employeur ou son représentant, assisté éventuellement de trois collaborateurs qui ont voix consultative.
La délégation au CSE participant aux réunions est composée de ses membres titulaires et des représentants syndicaux au CSE, ces derniers ayant seulement voix consultative.
Les suppléants au CSE n’assistent aux réunions qu’en l’absence d’un titulaire.
Toutefois, les parties s’accordant à considérer l’importance de la bonne communication aux salariés des informations relatives à la marche de l’entreprise, il est convenu que chaque membre du CSE doit pouvoir avoir accès au même niveau d’information s’agissant de la stratégie de l’entreprise. Pour cela, les membres suppléants pourront assister à la réunion portant sur la consultation des orientations stratégiques de l’entreprise prévues par l’article L. 2312-17 et suivants, selon la périodicité qui sera retenue au sein de l’entreprise, ou à défaut d’accord, au maximum une fois par an.
Les suppléants seront destinataires des convocations, des ordres du jour et des documents transmis aux titulaires afin de pouvoir remplacer ces derniers en cas d’absence.
Le règlement intérieur du CSE définit les modalités selon lesquelles le suppléant et la direction seront informés de l’absence d’un titulaire et du délai de prévenance minimum afin de garantir l’organisation du service.
Une réunion préparatoire avant chaque réunion du CSE à laquelle participe les membres titulaires et suppléants permettra d’organiser notamment la suppléance en cas d’absence d’un titulaire.
Conformément à l’accord du groupe Eiffage relatif à la prévention des RPS conclu le 07 décembre 2017, un référent RPS sera désigné parmi les membres titulaires ou suppléants de chaque CSE, idéalement membre de la CSSCT.
Heures de dÉlÉgation SUPRA LÉGALES
En complément des crédits d’heures des membres prévus par l’article R. 2314-1, il est convenu d’accorder un crédit d’heures complémentaires dans les conditions suivantes :

  • Pour le secrétaire du CSE : crédit de 6 heures complémentaires par mois ;

  • Pour le trésorier du CSE : crédit de 4 heures complémentaires par mois.
Ces dispositions seront applicables sous réserve que le protocole d’accord préélectoral les prévoit expressément.


Les commissions du CSE
Les membres des commissions désignées ci-après sont désignés parmi les membres titulaires ou suppléants du CSE, au scrutin secret uninominal majoritaire à un tour.
  • La Commission Santé Sécurité Conditions de Travail (CSSCT)


Les parties reconnaissent que les sujets relatifs à prévention et à la sécurité constituent un enjeu majeur pour l’entreprise.

Elles ont convenu de mettre en place une Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT) au sein du CSE.

Les membres de la commission sont élus au sein du CSE.




  • Missions de la CSSCT

La Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail, qui est une émanation du CSE et qui n’a pas la personnalité morale, a en charge les questions relatives :

  • A la santé physique ou mentale des salariés,
  • Aux conditions de sécurité,
  • Aux conditions de travail des salariés.

Cette commission a pour mission de travailler sur ces questions dans le périmètre du CSE dont elle dépend et d’en restituer la synthèse aux autres membres du CSE. Cette synthèse pourra être jointe préalablement à l’ordre du jour de chaque réunion du CSE portant sur les questions de santé, sécurité et des conditions de travail, si elle est transmise à l’employeur suffisamment à l’avance.

Les parties conviennent que le CSE délègue à la CSSCT les missions suivantes :

  • Les inspections périodiques en présence de l’employeur ou son représentant,
  • Les enquêtes suite à un accident de travail, à une maladie professionnelle, ou en cas de danger grave et imminent,
  • La formulation de recommandations en matière de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles, du harcèlement sexuel, du harcèlement moral, et des agissements sexistes,
  • Les enquêtes diligentées dans le cadre de l’accord Eiffage du 06 décembre 2017 relatif à la prévention des RPS, ou tout autre accord ayant le même objet.

La Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail ne se substitue pas au CSE, en particulier s’agissant de ses prérogatives consultatives sur les projets de l’entreprise ayant un impact en matière de santé, sécurité et sur les conditions de travail, et sur les éventuels recours à une expertise.

  • Composition de la CSSCT

La CSSCT est présidée par l’employeur ou son représentant.

Le nombre de membres de la CSSCT mise en place au niveau du CSE est fixé à 4 membres, dont 1 membre du 2e ou du 3e collège.

L’appartenance des membres du CSE à la CSSCT repose sur le volontariat.

Les membres sont désignés par le CSE, parmi ses membres titulaires ou suppléants, dès la première réunion de ce dernier, par une délibération adoptée à la majorité des membres présents du CSE, étant précisé que l’employeur ne prend pas part au vote.

Chaque CSSCT désignera en son sein un rapporteur qui aura pour mission principale de rédiger les comptes rendus des travaux de cette dernière, et de les transmettre à la direction et au CSE. Le rapporteur, s’il est suppléant, assiste aux réunions relatives à la santé et à la sécurité du CSE.

Le mandat de membre de la commission prend fin avec le mandat de membre élu du CSE.

  • Modalités de fonctionnement de la CSSCT

Le président organise et anime les réunions de la CSSCT. Le temps passé aux réunions de la CSSCT organisées par l’employeur est rémunéré comme du temps de travail effectif. Ce temps n'est pas déduit des heures de délégation prévues pour les membres titulaires de la délégation du personnel du CSE.

Le médecin du travail et le responsable interne du service de sécurité et des conditions de travail, l'agent de contrôle de l'inspection du travail, ainsi que les agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale et un représentant de l’OPPBTP sont invités aux réunions de la CSSCT et du CSE portant sur les questions de santé, sécurité et des conditions de travail.

  • Moyens de la CSSCT

Pour l’exercice de leurs prérogatives, chaque membre de la CSSCT bénéficie d’un crédit de 60 heures de délégation par an, en complément des heures octroyées dans le cadre de son mandat de membre du CSE. Les membres de la CSCCT non titulaires au CSE bénéficient également d’un forfait annuel de 60 heures par an.

Le rapporteur bénéficie d’un crédit de 10 heures de délégation supplémentaires par an.

Il est convenu que le temps de trajet pour exercer les missions entrant dans le champ de la CSSCT est rémunéré comme du temps de travail effectif. Ce temps de trajet n'est pas non plus déduit des heures de délégations prévues pour les membres de la CSSCT.


  • Réunions de la CSSCT

L’employeur organise une réunion de la CSSCT par trimestre. Cette réunion se tient préalablement à une des 4 réunions annuelles du CSE portant sur des questions de santé, sécurité et des conditions de travail. Des réunions exceptionnelles pourront également avoir lieu sur demande de l’employeur.

  • La commission sociale

Compte tenu de la forte proximité entre les différents thèmes abordés autour des commissions égalité professionnelle, formation, GPEC, les membres signataires prévoient la création d’une commission sociale qui aura pour objectif de regrouper les missions des commissions précitées.

Elle sera composée de 5 membres, dont au moins 1 membre du 2e collège et 3e collège.

Cette commission se réunira à l’initiative du président du CSE en dehors des réunions du CSE au moins 2 fois par an et rendront compte de leurs travaux aux membres du CSE. Les rapports des commissions sont soumis à la délibération du CSE.

Le temps passé aux réunions de cette commission est rémunéré comme du temps de travail. Ce temps n'est pas déduit des heures de délégation prévues pour les membres titulaires de la délégation du personnel du CSE.

Par ailleurs pour l’exercice de leurs prérogatives, les membres de la commission bénéficient des heures de délégation qui leur sont octroyées dans le cadre de leur mandat au CSE.

  • Autres commissions du CSE


En complément de la commission sociale prévue par l’article 6.2., les parties conviennent de la création d’une  commission d’information et d’aide au logement, composée de 3 membres dont 1 membre du 2e et 3e collège.


Cette commission se réunira à l’initiative du président du CSE en dehors des réunions du CSE au moins 2 fois par an et rendront compte de leurs travaux aux membres du CSE. Les rapports des commissions sont soumis à la délibération du CSE.

Le temps passé aux réunions de cette commission est rémunéré comme du temps de travail. Ce temps n'est pas déduit des heures de délégation prévues pour les membres titulaires de la délégation du personnel du CSE.



Ces commissions pourront être présidées par une personne désignée par le président du CSE. En fonction de la nature du sujet traité, le président du CSE pourra déléguer la présidence à un collaborateur du service RH.

Il est convenu que le temps de trajet pour exercer les missions entrant dans le champ des commissions est rémunéré comme du temps de travail effectif. Ce temps de trajet n'est pas non plus déduit des heures de délégations prévues pour les membres du CSE.


Budgets de fonctionnement et œuvres sociales
Le CSE dispose d’un budget de fonctionnement destiné à couvrir les dépenses engagées pour son fonctionnement et pour l'exercice de ses attributions économiques et professionnelles et d’un budget dédié aux activités sociales et culturelles destiné à financer ces activités au profit des salariés et de leur famille.


RÉUNIONS DU CSE
Les parties conviennent de porter le nombre de réunions annuelles à 11 par dérogation aux 12 prévues.

Le nombre de réunion pourra éventuellement être modifié par accord entre la direction et les organisations syndicales majoritaires, ou la majorité des membres titulaires du CSE en cas de besoin.

Une réunion préparatoire d’une durée de 4 heures se tiendra avant chaque réunion du CSE, à laquelle seront invités, à l’initiative du secrétaire du CSE, les membres titulaires et les membres suppléants. Les heures consacrées à cette réunion, qui servira de support d’information à l’attention de l’ensemble des membres du CSE, seront rémunérées comme du temps de travail effectif. Cette réunion préparatoire permettra également d’organiser la suppléance en cas d’absence d’un membre titulaire.

Il est convenu que le temps de trajet pour exercer les missions entrant dans le champ des commissions est rémunéré comme du temps de travail effectif. Ce temps de trajet n'est pas non plus déduit des heures de délégations prévues pour les membres du CSE.








Suivi des Élus en fin de mandat
Certains salariés, actuellement titulaires d’un ou plusieurs mandats électifs ou désignatifs, risquent de perdre leur mandat à l’issue du renouvellement des instances dans le cadre de l’ordonnance du 22 septembre 2017.

Les parties conviennent d’organiser un entretien de carrière avec un collaborateur du service ressources humaines régional et le responsable hiérarchique direct, à tous les salariés détenteurs d’un ou plusieurs mandats électifs ou désignatifs, de titulaire ou de suppléant, et qui perdraient la totalité de leur mandat, à l’issue du renouvellement des instances représentatives, entre 2018 et 2019. Cet entretien spécifique sera organisé dès la fin du ou des mandats électifs ou désignatifs.

Après la période des élections 2019, seront applicables les mesures prévues par l’accord GPEC du 03 mai 2018 et l’accord du dialogue social du 14 mai 2018, notamment en matière d’accompagnement de fin de mandat : « les salariés titulaires de mandat disposant d’heures de délégation sur l’année représentant plus de 30 % de leur durée du travail devront bénéficier, d’un entretien professionnel à l’issue de leur mandat qui pourra être suivi d’un second entretien après 6 mois de reprise d’activité professionnelle ».

Formation des membres du CSE
  • La formation économique des membres titulaires du CSE


Les membres titulaires du comité social et économique ont droit, à leur demande, à une formation économique d’une durée de 5 jours, réalisée par un organisme habilité. Cette formation se déroule sur le temps de travail et ne s’impute pas sur les heures de délégation des membres titulaires. La durée de formation est imputée sur la durée du congé de formation économique, sociale et syndicale. Le financement de la formation incluant aussi bien le prix du stage que les éventuels frais de déplacement et d'hébergement, est pris en charge sur le budget de fonctionnement du CSE. En cas d’insuffisance du budget de fonctionnement pour assurer le financement de cette formation, l’entreprise s’engage à abonder le budget en conséquence.

Cette formation peut également s’adresser aux membres suppléants du CSE.
  • La formation santé et sécurité des membres du CSE


Les membres titulaires et suppléants du comité social et économique devront suivre obligatoirement une formation nécessaire à l'exercice de leurs missions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail, d’une durée de 5 jours.

La formation sera dispensée auprès d’un organisme agréé, dès la désignation des membres de la délégation du personnel du CSE, selon un programme théorique et pratique préétabli qui tient compte des caractéristiques de la branche professionnelle, des caractères spécifiques de l'entreprise et du rôle du représentant au CSE. Cette formation se déroule sur le temps de travail et ne s’impute pas sur les heures de délégation des membres titulaires.
Le financement de la formation santé et sécurité est pris en charge par l’employeur dans les conditions de l’article art. R. 2315-20 et suivants du code du travail.





DatE d’entrÉe en vigueur et durÉe de l’accord


Le présent accord prend effet à la date de la signature.

Le présent accord est conclu pour une durée indéterminée.

AdhÉsion


Conformément aux dispositions de l’article L. 2261-3 du Code du travail, toute organisation syndicale représentative du personnel au sein de la Société, qui n’est pas signataire du présent accord, pourra y adhérer ultérieurement.

Cette adhésion ne pourra être partielle et concernera nécessairement l'ensemble des termes de l'accord.

Elle produira effet à partir du jour qui suivra celui de son dépôt sur la plateforme en ligne « TéléAccords » ainsi qu’au greffe du Conseil de Prud’hommes compétent.


RÉvision de l’accord

Chaque partie signataire pourra demander la révision de tout ou partie du présent accord, selon les modalités suivantes :
Toute demande de révision devra être adressée par lettre recommandée avec accusé de réception à chacune des parties signataires ou adhérentes et comporter, outre l’indication des dispositions dont la révision est demandée, des propositions de remplacement.

Toute révision du présent accord devra faire l’objet d’une négociation entre les parties signataires et donner lieu à l’établissement d’un avenant dans les conditions prévues par la législation en vigueur.



Information et publicitÉ de l’accord

Le présent accord sera déposé dans les huit jours suivant la date de notification à l’ensemble des organisations syndicales représentatives, par la Direction, par voie électronique sur la plateforme en ligne « TéléAccords » en vue de sa transmission à la DIRECCTE, ainsi qu’un exemplaire au Secrétariat-Greffe du Conseil des Prud’hommes du lieu de conclusion de l’accord.

A ce dépôt sera jointe une version de l’accord ne comportant pas les noms et prénoms des négociateurs et des signataires, conformément aux dispositions de l’article L. 2231-5-1 et de l’article 2 du décret n° 2017-752 du 3 mai 2017 relatif à la publicité des accords collectifs, afin qu’elle soit versée dans la base de données nationale.

Il sera affiché au sein de la Société sur les panneaux de la Direction prévus à cet effet. Un exemplaire sera tenu à disposition au service des Ressources Humaines.



Fait à Puteaux en 5 exemplaires, le 18 Décembre 2018


Pour la Direction :
Monsieur XX





Pour la CFDT :
Monsieur XX





Pour la FO :
Monsieur XX





Pour la CGT
Monsieur XX
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